Le Groupe T2i, éditeur de logiciels et prestataire de services informatiques, et Yuma, revendeur et intégrateur de logiciels de paie et RH, associent leurs expertises et leurs offres innovantes dans la gestion des Ressources Humaines pour répondre aux nouvelles exigences de digitalisation des services RH des entreprises.
Le Groupe T2i, éditeur de logiciels et prestataire de services informatiques, et Yuma, revendeur et intégrateur de logiciels de paie et RH, associent leurs expertises et leurs offres innovantes dans la gestion des Ressources Humaines pour répondre aux nouvelles exigences de digitalisation des services RH des entreprises.
132 heures. C’est le temps que vous, entrepreneurs, passez par an à gérer des tâches administratives. Le chiffre, tiré d’une étude American Express–Ipsos, laisse rêveur… La paperasse, voilà l’ennemi… Alors en attendant que le fameux « choc de simplification » porte ses fruits, nous nous sommes demandés comment nous pourrions concrètement vous aider.
Le bulletin de paie n’aura plus à comporter les taux des cotisations patronales. L’article 10 du décret du 9 mai 2017 supprime l’obligation de mentionner dans le bulletin de paie les taux des cotisations et contributions d’origine légale et conventionnelle à la charge de l’employeur. En conséquence, seuls le montant et l’assiette de ces prélèvements devront figurer sur le bulletin de paie. S’agissant des cotisations salariales, il demeurera obligatoire de mentionner leurs montant, assiette et taux (C. trav. art. R 3243-1, 8° modifié ; Décret art. 10).
C’est un peu la hantise des patrons. Et, aussi, le gros coup de stress des salariés. Gérer les demandes d’augmentation de salaire n’est jamais très simple. Et pas toujours possible : si le demandeur ne l’a pas toujours en tête, vous savez bien, vous, que 100 euros nets de plus par mois vous coûtera, en réalité, 167 euros. On refuse et on se quitte fâchés ? Pas forcément ! La rémunération, ce n’est pas que du salaire : avantages en nature, participations diverses, épargne-retraite…
« Passer » ses achats sur le compte de l’entreprise : attention, danger ? Bien sûr, le spectre de l’abus de bien social a de quoi inquiéter. Mais certains frais sont bel et bien déductibles du résultat imposable de l’entreprise. Voici quelques règles à respecter et des exemples concrets.
Frileux. Ignorant du métier de leur client. Pas à l’écoute, et jamais là quand on a besoin d’eux mais toujours prêt à vendre un placement dont on n’a pas l’usage. Pour bon nombre d’entrepreneurs, l’image des banquiers, malgré leurs campagnes de pub clamant leur amour des entreprises, est franchement mauvaise, pour ne pas dire catastrophique… A tort ou à raison ?